Marseille, notre belle

"Bon ça suffit comme ça ! Assez ! Basta ! N’en jetez plus !

On sait ! On savait ! On a compris !!!

Que d’acharnement bon Dieu…"

Un Marseillais (!!) - je ne sais plus trop s'il est journaliste ou non, j'ai même oublié son nom - a lâché dans les colonnes du quotidien La Provence son ras-le-bol de cette ville, de sa saleté, de son insécurité et j'en passe... 

Je ne retrouve pas ce texte, c'est bien dommage, vous auriez lu ainsi le "pour" et le "contre" Marseille.

Le "pour", je vous l'offre via la tribune "Marseille, ma Belle" de Gilles Azzopardi, auteur, metteur en scène marseillais de notre connaissance.

Une excellente occasion pour vous de (re)découvrir cette ville qui fait tant parler d'elle. 

MARSEILLE MA BELLE (1ère et 2ème partie)

MARSEILLE MA BELLE (3ème partie)

"...Marseille, on te reproche de ne pas être Monaco. Ce qui est presque aussi intelligent que de reprocher à un « gabian » de ne pas être un mirage 2000. On aimerait retrouver dans tes rues ce je ne sais quoi, qui fait tout le charme de Lausanne. On te reproche, entre autre, d’abriter des marseillais (si, si je l’ai lu!!!) et non pas des Tourangeaux car parait-il que sans tes habitants, tu serais une ville formidable! On te reproche d’être une ville du sud, avec une mentalité du sud, des odeurs du sud, un rythme du sud. On te reproche aussi et surtout d’être un port. Un port avec des bateaux qui arrivent d’ailleurs, qui accostent et qui déversent des gens dans tes rues (des voleurs et des assassins pour la grande majorité). Tu pourrais quand même faire un effort, Marseille, et sélectionner un peu la qualité des individus qui foulent ton sol !..."

Allez, bonne lecture et dites-moi tout !